mardi 20 juillet 2010

Le message précédent est plein d'erreurs. je m'en rends compte.

C'est mon imagination qui a donné un pailletage poétique à ce qui m'entourait dans mon enfance. le jardin sur lequel ouvrait le fenêtre n'était pas beau. Mon grand père ne voulait pas d'herbe, parce que c'est trop d'entretien. Alors nous avions du gravier.

Si mon grand père avait voulu de l'herbe, le jardin aurait été vraiment féérique. Comme dans un roman de Lewis Carrol ou un tableau de Monet ; et si le jardin avait été tel, ma mère aurait eu l'âme traversée exclusivement de pensées pures et merveilleuses. Ses parents, si soucieux de l'entretien du jardin, auraient été des parents plus ouverts, s'ils avaient aimé les pelouses et les fleurs. Ils auraient eu des filles plus apaisées, plus sereines.

Et alors, tout aurait été différent.

J'arrête. Je ne dois pas.

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